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Geneviève Bérigaud, naturopathe : l’importance des schémas de pensée

Geneviève Bérigaud sera l’une des trois intervenantes à la 2e Journée du Guérisseur qui a lieu le dimanche 24 février 2019 au Forum 104, 104 rue de Vaugirard, Paris.

Naturothérapeute, formée par André Passebecq, diplômée de Vie et Action, puis de l'Académie des sciences et recherches de Montréal, Geneviève Bérigaud a de multiples cordes à son arc  : relaxation (Jakobson, Schultz, Vittoz, Caycedo, Silva), sophrologie, yoga des yeux, qi gong, taï-chi-chuan et hygiène de vie naturelle.

Geneviève Bérigaud.

Elle propose des cours et des stages de ces différentes approches au monde associatif ou d’entreprise en Ile-de-France au travers de l'association Adenpas et de l'entreprise Sylvavita crée en 2001 par son mari Bernard Bérigaud, naturothérapeute, conférencier, auteur et formateur, notamment en aromathérapie. Dans le cadre de « l'école » qu'elle a ouvert avec son époux, elle a dispensé des cours, à ce jour, à plus d'un millier d'élèves.

Lois naturelles

S'intéressant autant aux causes des maladies qu'aux moyens d'y remédier par le biais des différents facteurs de santé naturelle, elle met l’accent sur la psychologie, les schémas de pensées et les états d'âme de la personne en souffrance. Pour parvenir à une hygiène de vie plus saine, plus équilibrée, elle s'occupe de l'être humain dans son ensemble, et non de la maladie prise isolément. Il s’agit d’aider chacun à retrouver les moyens de défense que tout homme possède en lui, la maladie étant avant tout une disharmonie due à un non-respect des lois naturelles.

L'amour de la vie joue un rôle primordial dans la médecine d’Hippocrate. Le régime mental y est aussi important que le régime alimentaire, que l'environnement... Ne dit-on pas dit  : « L'homme est ce qu'il mange », mais aussi « Tel un homme pense en son cœur, tel il est »  ? Pensées, paroles, émotions sont des ingrédients pour l'âme  : selon leur nature, elles ont le pouvoir de la renforcer ou de l'affaiblir.

Accueil du Verbe

Pour Geneviève Bérigaud, la détente ainsi que la reprogrammation positive du subconscient ont un pouvoir primordial créateur d'harmonie, de retour à la santé  : « C'est un moyen merveilleux pour toute personne qui veut se responsabiliser et devenir son propre maître ».

Elle utilise « l’accueil du Verbe » depuis plus de 40 ans, auquel elle a rajouté d'autres approches, en veillant toujours à ne pas nuire. Elle s'adresse aux différents aspects de l'être humain prêt à une transformation de lui-même.

Dans son éthique de vie, elle se réfère fréquemment à ces phrases :

« Si tu te plains de ton époque, si tu la trouves mauvaise, demande-toi ce que tu as fait pour la rendre meilleure » (Carlyle) est un de ses aphorismes préférés.

>> Réservez votre place dès aujourd'hui par internet !

>> Plus de renseignements sur la 2e Journée du Guérisseur dans cet article de présentation sur Ouvertures.

Les intervenants de la Journée du Guérisseur (4/4) : André Siméant

Présentation du quatrième intervenant sur les quatre prévus pour la Journée du Guérisseur, qui aura lieu le lundi 28 mai 2018 au Forum 104, 104 rue de Vaugirard à Paris.

En tant que chef d’entreprise, André Siméant avait reçu de nombreux prix, celui de la réussite (1987), du meilleur manager, du meilleur créateur d’emploi, de l’innovation sociale (1988) et Entreprendre (1993).

Devenu psycho-conseil/guérisseur il y a 45 ans, il a depuis reçu plus de 13 000 personnes dans son cabinet pour y donner des soins. Également organisateur de stages et de séminaires, il se dit toujours « apprenti », en recherche constante de ce qui épanouit l’humain.

Pour lui, la guérison vient de l’Être, de l’Esprit, dont il aime accueillir le Verbe qui soulage et harmonise : « J’ai plaisir à associer l’intelligence du cœur et la compréhension du mode de fonctionnement du cerveau. Comprendre notre gouvernance instinctive permet de mieux faire face à nos colères, nos fuites, nos inhibitions. Les rapports de force entre les individus sont décrits, eux, par la gouvernance grégaire. A moi de décoder où je suis, où l’autre se situe et d’apporter alors des solutions pratiques. Enfin, la gouvernance adaptative nous donne la capacité de sortir de nos schémas où se mêlent habitudes, routine, états mécaniques où le simple et le connu se côtoient. Cette gouvernance préfrontale est le siège de la créativité. Y associer le divin, et surtout la force du Verbe, pour éclairer, nourrir, guérir, voilà mon action ».

Pour André, la guérison durable passe surtout par la compréhension de la raison d’être humaine, sans laquelle les racines du mal demeurent et la liberté reste un vain mot.

Aujourd’hui âgé de 67 ans, André Siméant professe deux clés fondamentales : « Ce n’est pas l’évènement qui est important mais ce que j’en fais » ; « quoi qu’il m’arrive, j’ai tout pour y faire face ».

> accueilduverbe.fr

> Vous pouvez d’ores et déjà retenir votre place (50 € pour une personne ; 80 € pour deux personnes) en envoyant votre règlement à :

GRILLES DE LECTURE, 13 rue des Millepertuis, 71710 Marmagne.

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Guichet : 00270
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Clé RIB : 96

La Journée organisée par Débredinoire.fr, parrainée par Ouvertures.net.

Renseignements : 06 76 54 01 57.

Comment j’ai rencontré la Parole qui guérit

C’est ma conviction : des dizaines de milliers de morts auraient pu être évitées si on avait écouté la Parole passant par Georges Roux. Son message universel, publié en 1950 mais repoussé à l’époque, devient de plus en plus évident. Dans ce livre, je raconte ce qui m’a aidé à soulever le voile des apparences.

LAMOUR UNE Des dizaines de milliers de morts, des centaines de milliers même, sans doute, auraient pu être épargnées si l'on avait suivi les préceptes inscrits dans le Message, constitué de trois livres[1] rédigés par Georges Roux au début des années cinquante.

Non pas par un coup de baguette magique ni par je ne sais quel rayonnement magnétique, mais par simple bon sens. Georges Roux avait prédit, par exemple, que l'abus de la médecine chimique pouvait entraîner de graves conséquences ; que l'alcool, le tabac et les viandes cuites, pouvaient causer le cancer ;  que l'homme, pour conserver bonne santé, devait se nourrir essentiellement (pas exclusivement) de fruits, de légumes et de céréales ; que nos pollutions et notre avidité égoïste nous poussaient au suicide collectif, etc.

A l'époque, il fut ridiculisé par la société. Tout ce qu'il a dit aujourd'hui, pourtant, se réalise. Il est encore temps de réagir.

Liberté

G. Roux dérangeait aussi parce qu'il parlait au nom de « Dieu ». Mais il suffit de remplacer ce mot par Intelligence, amour ou conscience pour reconnaître l'évidence : nous avons sur Terre la multiforme conséquence de nos actes et/ou de notre passivité.

Ce Message m'a éclairé  sur le pourquoi de l’Homme : le monde est conçu, si nous le voulons, pour notre épanouissement, pour notre naissance en l'Esprit en êtres autonomes.

Dit autrement, par Bergson par exemple, l’Univers est « une machine à faire des dieux ». Autrement encore, il est « déterminé pour la réalisation de la Raison et de la Liberté », comme le pensait le philosophe allemand Fichte. C’est pourquoi, subtil paradoxe, cet Univers apparaît à la fois comme soumis aux inflexibles lois naturelles et confié au « hasard » de l’évolution. D'une certaine façon, et paradoxalement, il a une « finalité » sans en avoir...

En fait, cette détermination de l’Univers « en vue de la liberté » ne peut être aperçue que par le cœur. Elle ne peut apparaître d’emblée comme une évidence philosophique ou scientifique.

Une trace dans l’Histoire

Cet enseignement, que je découvre en 1975, rejoint la plupart des "grands textes" philosophiques ou religieux et les éclaire. Grâce à lui, j’ai pu mieux me comprendre, comprendre mes marges de manœuvre dans l'action et construire les bases d’une pensée féconde. J’ai ainsi développé une vision du monde personnelle, cohérente et positive, qui s’harmonise avec une multitude d’autres pensées. Et qui me pousse à œuvrer, dans l’intérêt général, pour le bonheur de chacun, le mien compris bien évidemment.

L'histoire relatée dans L'Amour n'attend pas est hors normes, peut-être difficile à croire pour certains, je veux bien l’admettre. Si je la publie aujourd’hui, c’est sur la demande de certaines personnes. Mais aussi pour laisser une trace dans l’Histoire. Pour donner une autre version de la vie et de l’œuvre de cet homme (mal) connu sous le vocable de « Christ de Montfavet » (1903-1981).

Les médias, le pouvoir et l’opinion publique, en effet, se sont cantonnés à l’aspect sombre de l’événement. Aspect engendré par les rumeurs et les calomnies, mais aussi par les maladresses des « disciples ». Ils sont ainsi passés à côté de la lumière qu'il pouvait répandre.

Transcendance

Je raconte tout cela, de la façon la plus sincère et transparente possible, dans mon livre.

J’y évoque : ma biographie, les relations avec mon entourage, mes découvertes, ce que je comprends du Message, les reproches des détracteurs, mes doutes et ma joie, l'histoire du mouvement (Alliance universelle) vu de l’extérieur comme de l’intérieur, ma sortie du mouvement, la politique nationale envers les minorités spirituelles et thérapeutiques, mes convictions, etc.

Dénué de prosélytisme, l'ouvrage apporte un éclairage inédit sur la problématique de la conviction et de la foi dans une société démocratique. Il ouvre la porte – c’est en tout cas mon souhait – sur une appréhension plus réaliste, plus intelligente et aussi foncièrement conciliatrice des rapports de l’individu et de la société avec la transcendance.

[1] Georges Roux, Journal d’un guérisseur ; Paroles du Guérisseur ; Mission divine, éditions Alliance universelle, Avignon.acheter-mon-livre-sur-thebookedition