Paris, le 18 février 2013 : Les dessous de la politique antisecte française


Par Jean-Luc Martin-Lagardette

La France est un des rares pays au monde développant une puissante politique de lutte contre les « sectes » et les médecines douces : groupes de travail et commissions d’enquête parlementaires ciblés, lois spécifiques, institutions dédiées, financement ad hoc, police spéciale, formations particulières y compris universitaires, etc.

 

 

Cette politique est non seulement acceptée les yeux fermés mais aussi soutenue et encouragée par la quasi-totalité des grands médias.

 

Les citoyens font totale confiance au gouvernement et à la presse qui réussissent à leur faire croire que les institutions sont noyautées par les sectes, que les dérives sectaires sont innombrables, provoquant des victimes et des morts en pagaille, et qu’elles méritent les centaines de millions d’euros dépensés pour lutter contre ce « fléau social ».

 

Entre autres mensonges, rumeurs et calomnies, les épouvantails des suicides collectifs et du charlatanisme médical sont agités en permanence pour justifier cette mobilisation nationale. Or, une simple analyse rigoureuse, froide et dépassionnée des faits montre que cette affaire des « dérives sectaires » n’a absolument pas l’ampleur qu’on veut lui attribuer. Et qu’elle cache en fait une volonté de protéger des positions acquises et des privilèges.

 

La démonstration peut (et doit) être faite d’une triste réalité : l’anti sectarisme français (copié par la Chine jusque dans ses législations spécifiques) recouvre pour une grande part une guerre des scientistes et du pouvoir contre les créatifs culturels, contre les médecines douces et la spiritualité.

 

Où et quand ?

Jean-Luc Martin-Lagardette

Conférence + coktail dinatoire

Lun. 18 février 2013, de 18h30 à 22h30

ESPACE FAUBOURG

70 Rue du Faubourg Saint-Honoré

75008 Paris, France

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